Les girolles de Didier !
Vous me pardonnerez ce trait d’humour dans le titre de cette chronique, mais s’appeler Girol en France vous assure d’être affublé de tous les sobriquets possibles. Je fus donc rebaptisé tour à tour : mousseron, champignon de Paris ou trompette de la mort, de la maternelle jusqu’à mon arrivée au Québec. Mais comme à toute chose …